PRELUDE
Le président fit son annonce télévisée, cela
était prévu depuis longtemps.
La dissolution d’un parlement est une bonne
chose, lui disaient ses conseillers.
Il n’a jamais été déçu par le cabinet de
consultants que lui a conseillé son mentor.
La reconstruction du monde selon les plans
établis bien avant sa propre naissance était en route, rien n’entraverait la
voie.
Certes, cela sera difficile pour le peuple,
mais, après tout, ce n’est que le peuple justement. Tant d’humains tend à
l’instabilité, il faut donc minorer le nombre.
Et cela, tous les grands de ce monde le valident
car c’est le projet des mentors.
Les politiciens n’ont toujours pas compris que
le pouvoir leur a été retiré, et que ce n’est aujourd’hui que du théâtre, un
jeu de rôle qui ne fait que permettre de gagner du temps.
Créons les divisions, et augmentons les
tensions, cela permet de conforter la «Démocrature».
Il faut incendier le monde, disent les mentors.
Ils ont su déclencher les conflits, et attiser les comportements souverainistes
de certains pays. Les grands joueurs d’échecs que sont les Russes devraient se
rendre compte que depuis le début ils ne maitrisent pas la partie. Les
incendies du moyen orient ne sont que les prémices de la grande destruction des
cultures musulmanes. Les mentors l’ont décidé ainsi.
L’Europe est un terrain de jeu, la France est
un électron libre. Les mentors ne souhaitent pas que celle-ci recommence avec
ses habitudes révolutionnaires et humanistes. Il faut la faire taire, et son
président a su fédérer une équipe des plus incompétentes en la matière. Le
pouvoir corrompt, l’argent achète.
L’annonce de la dissolution fait ressortir les
prédateurs du bois. Le président s’amuse de les voir s’écharper la veille et s’unir
le lendemain. C’est fou comme l’humain ne pense pas quand il ne s’intéresse qu’à
lui-même.
La peur des extrêmes est une belle arme de
manipulation de masse. François Mitterrand l’avait bien compris, et cela lui
avait donné tous les pouvoirs.
Depuis quarante ans, toujours la même
technique, toujours les mêmes résultats.
Même plus besoin de vendre un projet au peuple,
mouton apeuré d’un loup qui ne ressemble plus du tout au prédateur de départ,
domestiqué par le pouvoir, il se veut devenir le maitre d’un jeu dont il est un
pion. Gauche, Droite, ce ne veut plus rien dire, le pouvoir sera centralisé ou
ne sera pas.
Les mentors souhaitent la mise en place d’un
gouvernement continental maitrisé. La guerre va permettre cela. Déclenchée aux
portes de la « cité » elle s’étendra à l’est de l’Europe. Pour ce
faire, l’intégration de l’Ukraine est la solution.
Et afin d’organiser ces grandes manœuvres,
détourner le regard avec le conflit Palestinien est le remède.
Les mentors méprisent le peuple, ils ont bien
raison. Il n’est même plus besoin de cacher quoi que ce soit, les foules ont
perdu tout pouvoir d’action. Hier la peur gouvernait les dirigeants, aujourd’hui
les populations sont sous ce joug. Après avoir écrasé les manifestations,
institué le contrôle par les pseudo-pandémies, voici le troisième volet de l’histoire
de l’humanité : l’anéantissement de la pensée individuelle au profit de la
pensée unique.
Les mentors disent que le peuple ne doit être
qu’un outil au service des mentors, Les oeuvrants qui gouvernent ne sont que des
« Kapos » d’un gigantesque camp de rétention mondial.
Le président prépare son spectacle programmé
depuis longtemps, créant l’instabilité et la zizanie.
D’ici trois semaines un scénario renouvelé de deux
partis majoritairement au pouvoir, les dites « extrêmes », rien de
nouveau, car c’est la situation actuelle. Le Président choisira un 1er
ministre fantoche, comme actuellement, un gouvernement piloté, et laissera les
groupes d’opposition continuer à se combattre.
Jules CESAR le disait : les Gaulois pourraient
facilement nous vaincre s’ils étaient unis, mais c’est un peuple en conflit
interne perpétuel, qu’il faut initier ou intensifier.
Rien n’a changé…
Peut-être que si, et les mentors l’ont bien
perçu. Il existe des regroupements, des communautés qui sortent du grand contrôle
mise en place. Depuis la pandémie, ces circuits alternatifs se développent.
Lorsque les manœuvres mondiales seront
finalisées, il faudra s’en préoccuper.
Heureusement le Président et les grands de ce
monde ont su mettre au silence les leaders qui sont nés de la pandémie. Cela
était d’ailleurs inscrit dans le grand projet de départ. Avant on aurait
supprimé les belligérants, aujourd’hui on adapte chaque situation en fonction
des outils de communication qui sont tous sous contrôle, « merci Goebbels »
pour ton enseignement sur ce sujet.
Le problème, pour les mentors, c’est qu’il
existe une règle universelle : rien ne se passe jamais comme il cela est
prévu. Il y a un paramètre qui a été occulté, un insignifiant sentiment qui s’anime
dans chaque cœur et révolutionne l’espèce humaine, et cela va bouleverser le
grand plan.
Et l’espoir que cette émotion, qui s’exprime
pour faire défaut à la peine et la peur, dans la beauté et la vie, que chaque
être vivant porte en lui, grandisse et efface cette destruction, ne dépend que
de chacun d’entre nous.
Et c’est en train d’arriver…
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